4, CH. DE PLONJON 1207 GENÈVE
BIBLIOTHÈQUE DES SPORTS
Tél. 022 735 22 60
Bus: 2 (arrêt parc) Bus 9
Ouverture:
mardi: 13h30-17h30
mercredi: 9h-12h/13h-18h
samedi* 10h-13h
*fermé les samedis de juillet et d’août
Connaissez-vous les richesses de cette bibliothèque sportive, publique
et gratuite? Voici quelques titres entre mille autres.
Charles Beausire
Les empereurs ont également organisé des «venationes» dans les
amphithéâtres dont les gradins sont protégés par des fossés et des parois
lisses, qui se déroulent le matin à l’aube puis l’après-midi dès la fin de la
république. Les «venatores» sont entraînés à lutter contre les bêtes sauvages
dans des casernes d’Etat. Ils sont armés d’un épieu renforcé d’une pointe de
fer (vernabulum). Habiles à la lance, ils tuent ainsi les panthères. Vêtus
d’une simple tunique (parfois d’une cuirasse), ils n’ont pour protection que
des bandes de cuir fixées aux bras et aux jambes. Ils affrontent l’animal au
corps à corps, le montent parfois pour fatiguer les fauves. Certains combats
rappellent la tauromachie.
La naissance des jeux olympiques et le sport dans
l’Antiquité/ Violaine Vanoyeke
Un guerrier en service officiel a sans doute de nombreux collègues,
mais il est naturel qu’il noue des relations d’amitié avec des guerriers
braves, justes, intelligents et influents. Ils ne sont pas si nombreux dans ce
cas, aussi n’y en aurait-il qu’un seul, s’il a aussi des liens avec vos autres
amis, il peut vous être d’un grand secours en temps de besoin.
Code d’honneur du samouraï/ Thomas Cleary
Les Grecs, pendant les Jeux, avaient aussi leurs recettes, et l’on
raconte que les lutteurs et les colosses célèbres mangeaient essentiellement de
la viande de taureau. Les coureurs et les athlètes olympiques allaient même
jusqu’à ingérer la viande d’un animal dont les qualités rappelaient la
discipline dans laquelle ils excellaient. Gazelles pour la course et le saut,
par exemple. La victoire était synonyme de richesse, d’honneurs et de gloire.
On cherchait déjà à se l’approprier plus facilement. Rien n’a changé depuis.
Les moyens importaient peu.
Tout
savoir sur le dopage/ Michel Bourgat
Au plan purement nutritionnel l’irradiation d’un aliment frais permet au détaillant de le conserver plus longtemps dans cet aspect, le vieillissement non apparent (mais réel) n’en diminuera pas moins les vitamines et autres micronutriments qu’il renfermait à l’origine. Et cette apparence de fraîcheur de l’aliment pourrait encourager aussi le détaillant à ne pas respecter les températures nécessaires à la bonne conservation microbiologique des aliments irradiés.
L’angoisse
dans nos assiettes/ Josiane Mongeot
Le mot sucre vient du
vieux sanskrit sakara, c’est-à-dire l’ancienneté et l’universalité de la
recherche sucrée. On ne connaît pas exactement l’origine de la quête des
aliments sucrant dans la nature, mais on sait que pendant très longtemps c’est
le miel qui a été considéré comme l’idéal en la matière. Mais les Anciens
savaient extraire le sucre de la sève des plantes, ou de certains fruits comme
le raisin, les figues et les dattes.
Nutrition
consciente/ Marion Kaplan
Le bateau fit escale au
paso del Indio, où les Indiens Alakuf ont l’habitude de venir en canoë à la
recherche des bateaux. Parmi les femmes qui se trouvent sur ces longues
embarcations, je remarque étonné que l’une d’elles tient un pingouin dans ses
bras, comme un enfant. Plus tard, j’apprendrai que les Alakuf protègent leurs
nouveau-nés du froid en les couvrant d’une peau de pingouin.
Le
passant du bout du monde/ Francisco Coloane
L’autre jour, j’ai aperçu
et suivi un moment un cycliste pédalant, un téléphone portable à l’oreille.
Spectacle désolant pour le vélophile de base à qui l’incompatibilité définitive
entre l’esprit vélo et l’esprit portable saute aux yeux. Rien de commun entre
la flânerie mentale du cycliste et cette obsession fébrile de joindre ou d’être
joint à tout moment.
Petit
traité de vélosophie/ D. Tronchet
C B